Cire Studer - Borikic - Macdonal

Inspiration naturelle 

• Après avoir essayé de travailler avec la fumée, vapeur, nous nous rendîmes compte que c’était assez dur de l’utiliser efficacement en maquette. Toutefois nous voulions garder l’idée d’hydrodynamique des fluides et leurs impact sur les objets. Nous retentons donc l’expérience avec différents liquides comme la cire et d’autres liquides plus ou moins visqueux, avec des densités différentes.

Processus

• On a donc essayé de décomposer, figer, analyser leurs mouvements. Pour cela nous avons utilisé la cire qui permet de figer l’écoulement d’un fluide. En effet, en versant de la cire sur un glaçon, la réaction fait que la cire se fige et sèche sur le glaçon.
• Nous nous sommes inspirés des stalactites, musée Teshima, hôtel de glace …

Journal de recherche

• Une fois que nous avons eu l’idée de la cire, nous avons pensé la faire couler sur de la mousse et d’autres matériaux afin de mieux voir comment elle réagit sur différents types. Mais les résultats étaient décevants car nous avions que l’extérieur et c’est là ou nous avons eu l’idée des glaçons. L’idée est simple : nous recouvrons un glaçon de cire afin que celle ci durcisse grâce au glaçon et ce dernier va fondre et nous verrons ainsi l’espace intérieur crée.

Différents rôles de la cire

• La cire peut jouer plusieurs rôles apparentés à l’architecture. Selon la forme du glaçon elle a joué le rôle de peau, de structures …
• Nous avons pris pleins de petits glaçons afin de créer une mini-ville au milieu de la banquise,  puis nous avons pris 3 gros glaçons ovales,  pour créer 3 grosses structures etc …
• Nous avons également testé plusieurs couleurs pour une meilleure visibilité des différents écoulement mais le résultat n’était pas convaincant donc nous avons décidé de tout faire en blanc afin que ca soit plus facile a voir et plus cohérent vis a vis de notre contexte.

Adjectifs

• Nous avons considéré que c’était la maquette de la ville miniature au milieu de la banquise qui était la plus significative de notre travail.
• Disparition – Formation -  Structuration

Transposition dans un projet d’architecture

• L’échelle serait au 1/1000^e, afin de mieux percevoir l’impact du microcosme que nous avons fait.
• Notre projet serait basé au pôle nord, prés du cercle arctique car nous trouvions ce site cohérent par rapport a la forme naturelle du projet.
• Idéalement ce projet serait a la base une structure en métal sur lequel on serait venu poser de la glace, et servirait comme un abri à un centre de recherche scientifique.

Matériaux

• Nous nous sommes renseigné sur les différents types de matériaux adaptables à notre projet et on est vite tombé d’accord sur le fait qu’il nous fallait  un matériau amorphe qui coulait et se solidifiait.
• Tout d’abord un solide amorphe est un liquide qui ne coule pas : sa structure atomique est désordonnée comme un liquide mais il est figé et garde sa forme comme un solide. Parmi les matériaux amorphes on peut citer le verre de silice et une multitude d’autres matériaux d’origines extrêmement diverses, comme les verres « mous » : 

• Les verres représentent la majorité des solides amorphes. Ils sont le plus souvent obtenus par refroidissement d'un liquide n'ayant pas pu cristalliser. 
• En général, la viscosité d'un liquide augmente quand la température diminue. Dans certaines conditions, on peut abaisser la température d'un liquide sans que la cristallisation ne puisse s'amorcer ; le milieu devient si visqueux que les constituants (atomes, molécules, ions) du liquide n'ont plus assez de mobilité pour atteindre la position qu'ils auraient dans le solide cristallisé ; ils se retrouvent bloqués dans un état désordonné ; le liquide est devenu immobile et rigide ; on est en présence d'un solide amorphe qui peut être considéré comme un liquide figé, d'énorme viscosité ; cette forme particulière de la matière est appelée état vitreux ; le solide est un verre. On fabrique aujourd'hui des verres minéraux (ou inorganiques), des verres organiques